dimanche 11 mars 2012
La guerre éternelle
de Joe Haldeman.
Roman remarquable de science-fiction, tendance space opéra.
Il décrit la montée en grade d'un fantassin galactique au sein de l'armée humaine en guerre contre une race extraterrestre incompréhensible. La guerre dure 1146 ans terrestres (entre 1997 et 3143) mais les distances entre les lieux de bataille sont telles que les voyages s'effectuent à des vitesses relativistes faisant intervenir le paradoxe des jumeaux de Langevin. Le temps s'écoule beaucoup plus lentement sur les vaisseaux que sur les planètes. Pendant chaque voyage à destination d'un combat, le soldat Mandella, vit "quelques mois" mais il s'écoule des siècles sur les planétes. Chaque permission est donc l'occasion de revisiter une humanité profondément changée, par rapport a ses souvenirs de quelques mois.....
Ce roman est à rapprocher à la fois de "étoiles garde à vous" de Robert Heinlein, et de "adieu planètes" de Marion Zimmer Bradley.
Sans atteindre le niveau épique du premier, ni le niveau poétique du second , c'est un exccellent roman.
Je recommande.
Roman remarquable de science-fiction, tendance space opéra.
Il décrit la montée en grade d'un fantassin galactique au sein de l'armée humaine en guerre contre une race extraterrestre incompréhensible. La guerre dure 1146 ans terrestres (entre 1997 et 3143) mais les distances entre les lieux de bataille sont telles que les voyages s'effectuent à des vitesses relativistes faisant intervenir le paradoxe des jumeaux de Langevin. Le temps s'écoule beaucoup plus lentement sur les vaisseaux que sur les planètes. Pendant chaque voyage à destination d'un combat, le soldat Mandella, vit "quelques mois" mais il s'écoule des siècles sur les planétes. Chaque permission est donc l'occasion de revisiter une humanité profondément changée, par rapport a ses souvenirs de quelques mois.....
Ce roman est à rapprocher à la fois de "étoiles garde à vous" de Robert Heinlein, et de "adieu planètes" de Marion Zimmer Bradley.
Sans atteindre le niveau épique du premier, ni le niveau poétique du second , c'est un exccellent roman.
Je recommande.
vendredi 9 mars 2012
Mouais
Nicolas Sarkozy aurait déclaré :
"si je perds les prochaines élections, je quitte la politique."
Méfions nous des promesses électorales !
"si je perds les prochaines élections, je quitte la politique."
Méfions nous des promesses électorales !
jeudi 8 mars 2012
Aujourd'hui, journée de la femme.
« La femme serait vraiment l'égale de l'homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. »
Françoise Giroud
Le Monde - 11 Mars 1983
Françoise Giroud
Le Monde - 11 Mars 1983
lundi 5 mars 2012
Etonnant non ?
" Un prince bien avisé ne doit point accomplir sa promesse lorsque cet accomplissement lui serait nuisible, et que les raisons qui l’ont déterminé à promettre n’existent plus. Mais, pour ne pas laisser voir cette perfidie, il doit aussi posséder parfaitement l’art et de simuler et de dissimuler . Son hypocrisie doit le faire paraître tout plein de douceur, de sincérité, d’humanité, d’honneur, et principalement de religion ."
Machiavel (le prince)
Machiavel (le prince)
dimanche 4 mars 2012
France 17 - Irlande 17
Ce sont deux échecs auxquels nous avons assisté, cet après midi, au Stade de France enfin dégelé.
Echec de l'Irlande à vaincre en se basant UNIQUEMENT sur son légendaire gout du combat et son génie incontesté à faire prendre des vessies pour des lanternes au corps arbital.
Echec de la France a jouer "son" jeu légendairement inspiré et jaillissant, quand une opposition solide et volontaire est en face.
On ne s'est pas vraiment ennuyé : la France a maintenu le suspens ; d'abord arriverions nous a recoller au score ? (oui) et ensuite arriverions nous à vaincre ? (non).
Dès le début les irlandais ont affiché leur volonté farouche d'en découdre "partout", et à ce jeu ils ont fait déjouer notre équipe, occupée a relever le défi plutot qu'à jouer.
Un Tommy Bowe inspiré a crucifié deux fois les français (interception + exploit personnel) et la note aurait pu être plus salée tellement il a été à l'affut des imperfections françaises ; mais la seconde mi temps a vu les français beaucoup tenter, et ... ne rien réussir, sauf, heureusement, sur un exploit personnel de Fofana.
La nouveauté est que la France, relevant le défi du combat total, a fait jeu égal avec les irlandais, les forçant même, ce qui est rare, a concéder de nombreuses pénalités qui ont permis à Parra de coller au score .
Bref, on ne s'est pas vraiment ennuyé, l'engagement a étét total. Ya même eu de beaux mouvements. Mais bon je n'ai pas aimé.
En parlant de jeu total et d'embrouilles arbitrales, nous avons tenu tête a des amateurs éclairés (les irlandais) mais dans une semaine nous rencontrons les pros incontestés de la discipline (les anglais) chez eux .
Nous n'avons, avec ce que j'ai vu cet après midi, aucune chance.
Echec de l'Irlande à vaincre en se basant UNIQUEMENT sur son légendaire gout du combat et son génie incontesté à faire prendre des vessies pour des lanternes au corps arbital.
Echec de la France a jouer "son" jeu légendairement inspiré et jaillissant, quand une opposition solide et volontaire est en face.
On ne s'est pas vraiment ennuyé : la France a maintenu le suspens ; d'abord arriverions nous a recoller au score ? (oui) et ensuite arriverions nous à vaincre ? (non).
Dès le début les irlandais ont affiché leur volonté farouche d'en découdre "partout", et à ce jeu ils ont fait déjouer notre équipe, occupée a relever le défi plutot qu'à jouer.
Un Tommy Bowe inspiré a crucifié deux fois les français (interception + exploit personnel) et la note aurait pu être plus salée tellement il a été à l'affut des imperfections françaises ; mais la seconde mi temps a vu les français beaucoup tenter, et ... ne rien réussir, sauf, heureusement, sur un exploit personnel de Fofana.
La nouveauté est que la France, relevant le défi du combat total, a fait jeu égal avec les irlandais, les forçant même, ce qui est rare, a concéder de nombreuses pénalités qui ont permis à Parra de coller au score .
Bref, on ne s'est pas vraiment ennuyé, l'engagement a étét total. Ya même eu de beaux mouvements. Mais bon je n'ai pas aimé.
En parlant de jeu total et d'embrouilles arbitrales, nous avons tenu tête a des amateurs éclairés (les irlandais) mais dans une semaine nous rencontrons les pros incontestés de la discipline (les anglais) chez eux .
Nous n'avons, avec ce que j'ai vu cet après midi, aucune chance.
samedi 3 mars 2012
ASM 35 - Toulouse 5
Match au sommet , en cette 19° journée du Top 14, mais entre deux équipes très expérimentales, chacune étant saignée à blanc par la réquisition de nombreux internationaux.
L'ASM a d'emblée affiché ses ambitions, en privant son adversaire de terrain, de ballon, d'intention, de jeu, enfin de tout ...
Les toulousains, débordés, furent vite réduits à colmater les brèches dans la tempête, et donc a faire des fautes pénalisées, ce qui a permis à Skrela d'aligner des points assez rapidement.
Les seuls points toulousains, marqués contre le cours du jeu, le furent sur une interception.
2 essais asémistes parachèvent cette belle journée.
C'est vraiment étonnant que les joueurs de l'ASM arrivent à maintenir un tel volume de jeu pendant 80 minutes. Chapeau aux préparateurs physiques !
L'ASM a d'emblée affiché ses ambitions, en privant son adversaire de terrain, de ballon, d'intention, de jeu, enfin de tout ...
Les toulousains, débordés, furent vite réduits à colmater les brèches dans la tempête, et donc a faire des fautes pénalisées, ce qui a permis à Skrela d'aligner des points assez rapidement.
Les seuls points toulousains, marqués contre le cours du jeu, le furent sur une interception.
2 essais asémistes parachèvent cette belle journée.
C'est vraiment étonnant que les joueurs de l'ASM arrivent à maintenir un tel volume de jeu pendant 80 minutes. Chapeau aux préparateurs physiques !
Le chapeau de Mitterrand
d'Antoine Laurain
Moitié roman, moitié fable, moitié collection de tableaux, ce petit livre est vraiment très bien écrit, et, basé sur une trame futile (Mitterrand oublie son chapeau dans une brasserie, et celui ci passe de tête en tête, en donnant à chaque fois à son possesseur du moment la capacité de changer le cours de sa vie) est surtout un prétexte à revisiter dans nos souvenirs ce qui fut un moment, une ambiance, une époque, avec ses rites, ses rythmes et ses icônes.
Pour une génération, ça parle forcément au cerveau. Pour les plus jeunes ça n'accrochera probablement pas.
Un parti pris, gentiment pro-socialiste, mais sans l'animosité et la bêtise actuelle, n'est pas de nature à nous gâcher le plaisir.
Je recommande
Moitié roman, moitié fable, moitié collection de tableaux, ce petit livre est vraiment très bien écrit, et, basé sur une trame futile (Mitterrand oublie son chapeau dans une brasserie, et celui ci passe de tête en tête, en donnant à chaque fois à son possesseur du moment la capacité de changer le cours de sa vie) est surtout un prétexte à revisiter dans nos souvenirs ce qui fut un moment, une ambiance, une époque, avec ses rites, ses rythmes et ses icônes.
Pour une génération, ça parle forcément au cerveau. Pour les plus jeunes ça n'accrochera probablement pas.
Un parti pris, gentiment pro-socialiste, mais sans l'animosité et la bêtise actuelle, n'est pas de nature à nous gâcher le plaisir.
Je recommande
Le livre de Johannes
de Jorgen Brekke.
Bof, un gros pavé qui veut être bien crade, avec de l'horreur et un mec bien déjanté. De l'improbable, de la surenchère, rien de bien fulminant.
En plus avec d'agaçantes prétentions d'érudition historique.
Si vraiment on veut en tirer quelque chose, les pages décrivant la vie quotidienne des norvégiens dans une ville de province, ne sont pas inintéressantes.
Mais c'est tout.
Bof, un gros pavé qui veut être bien crade, avec de l'horreur et un mec bien déjanté. De l'improbable, de la surenchère, rien de bien fulminant.
En plus avec d'agaçantes prétentions d'érudition historique.
Si vraiment on veut en tirer quelque chose, les pages décrivant la vie quotidienne des norvégiens dans une ville de province, ne sont pas inintéressantes.
Mais c'est tout.
Drame
François Hollande annonce qu'au delà d'un million d'euros par an, il prendra 75 %.
De nombreux footballeurs s'indignent et déclarent qu'en ce cas, ils quitteront la France.
C'est ce qu'on appelle la fuite des cerveaux.
De nombreux footballeurs s'indignent et déclarent qu'en ce cas, ils quitteront la France.
C'est ce qu'on appelle la fuite des cerveaux.
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